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Le Feu au sommet de la Montagne

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Le Feu au sommet de la Montagne

Contes pour espérer
Art du récit
A partir de 10 ans – 45 min
Praline Gay Para
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Fuir une ogresse jalouse, relever un terrible pari au sommet d’une montagne, voler un poil de la moustache d’un lion féroce… Ce sont quelques-uns des défis que s’apprêtent à relever Fatma, Bizuneh, Arha et bien d’autres héros. Chacun d’entre eux trouvera le courage d’affronter tous les dangers, grâce à leur ruse, leur joie de vivre, leurs compagnons.Venues de Syrie, d’Érythrée, d’Éthiopie, du Soudan et d’Afghanistan, voici des histoires de courage et d’amitié, pour trembler et sourire.

En lien avec la parution en novembre 2021 de l’album Le Feu au sommet de la Montagne chez Actes Sud. Il est également possible de faire une lecture par Praline Gay-Para, accompagnée de Julien Billaudeau qui recréée en direct des images au pochoir pour illustrer le récit.

Terre

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Terre

Art du récit
Tout public à partir de 10 ans – 55 min

Praline Gay-Para : écriture, récit Guillaume Lecamus : mise en scène, aide à l’écriture Catherine Pougeol : composition électroacoustique Sevil Gregory : scénographie, costume

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Textes, compositions sonores et manipulation font avancer à l’unisson les parcours d’héroïnes et de héros que nous côtoyons tous les jours.

Trois personnages : une femme, un homme, un adolescent. Trois récits d’exil, à travers terre, désert et montagne. Chaque parcours appelle des images de contes populaires. Des murs infranchissables, des départs précipités, des montages à escalader, des ruses pour la survie. Avancer coûte que coûte… et l’espoir comme seul souffle de vie.

Comme dans les contes, ces vraies histoires finissent bien, puisque les trois personnages arrivent ici pour nous les raconter.

Jauge : 50 à 80 personnes selon la configuration de la salle

Vives et vaillantes

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Vives et vaillantes

Art du récit
A partir de 5 ans ou à partir de 8 selon version – 50 minutes
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Elles étaient une fois, elles étaient mille fois

Nous entendons souvent dire que dans les contes, les jeunes filles et les femmes sont passives et attendent le prince charmant.

Certains contes sont ouvertement sexistes, à nous de les réduire au silence. Mais dans la grande majorité des contes de tradition orale, les héroïnes sont vaillantes et transgressent tous les interdits pour parvenir à leurs fins. Qu’ils soient merveilleux, réalistes, étiologiques ou facétieux, ces contes tiennent sur leurs épaules. Praline Gay-Para propose un solo de contes traditionnels et de récit contemporains où les femmes sont vives et vaillantes.

En lien avec la parution de Vives et Vaillantes chez Didier Jeunesse en 2018, et à la parution en avril 2020 chez Actes Sud, Babel de Contes pour jeunes filles intrépides des 4 coins du monde, Praline propose également des rencontres avec des classes de collèges et lycées, qui peuvent se coupler avec le spectacle.

Praline propose ce spectacle dans une version adaptée au jeune public à partir de 5 ans, ou bien dans sa version originale à partir de 10 ans.

Conférence contée

Conférence contée

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Conférence contée

Art du récit
Public adulte – 1h30

 

Sous la forme de conférence contée, Praline Gay-Para mêle narration et réflexion autour d’un sujet précis, relié au conte, depuis plus de quinze ans. L’échange avec l’auditoire fait partie de cette forme, qui s’adresse à un public adulte de tout horizon. Prévoir 60 à 90 minutes.

Les conférences contées disponibles:

– Les méchants dans les contes, et la peur.
– Vives et vaillantes : les personnages féminins dans le conte.
– Raconter aux tout petits
– Est ce que les contes aident à grandir ?
– Blanche-Neige et ses sœurs dans le monde
– Le merveilleux dans le conte
– Collecter et raconter des récits de vie : du singulier à l’universel.

Rise Up !

Rise Up !

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Rise Up !

Concert-contes
Récits et musique jazz
Jeune public à partir de 8 ans – 55 min

Praline Gay Para – écriture, jeu Hélène Labarrière – contrebassiste

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Nous écoutons souvent des musiques qui nous sont devenues familières : Jazz, blues, reggae, soul, rap, work songs… et nous oublions aussi souvent qu’elles sont nées de l’histoire des peuples déportés d’Afrique pour être réduits en esclavage dans le continent américain, de leurs résistances, de leurs luttes pour l’abolition de l’esclavage, pour les droits civiques, pour la fin de la ségrégation.  Comme toutes les sociétés opprimées, les peuples issus de l’esclavage ont déployé une énergie immense pour tenir debout, tête haute, malgré le joug qui les écrasait. Des révoltes sur les plantations, des ruses pour apprendre à lire, des solidarités pour aider les fuites, des chants, de la musique, des marches, des poings levés, des luttes, des contes, des romans, des essais, des films….

Aujourd’hui, l’égalité des droits est inscrite dans la loi, mais la violence raciste n’a pas disparu et les soulèvements continuent de rassembler toutes celles et tous ceux qui croient en un monde de justice, d’où qu’ils viennent.

A travers ces musiques les esclaves et leurs descendants ont exprimé leurs rêves, leurs révoltes, leurs colères par des moyens détournés, en créant un espace joyeux et vivants pour se rassembler, pour contrecarrer la violence quotidienne en se donnant des forces ensemble.

#blacklivesmatter

 

Action financée par la Région Île-de-France

Pour ce qui est de Rise Up ! que j’ai découvert à Avignon, j’ai trouvé ce concert-contes très réussi surtout grâce à une subtile et intelligente harmonie entre les récits tissés par Praline Gay-Para (à partir d’un répertoire afro-américain et caribéen souvent méconnu en France) et la partition musicale improvisée à la contrebasse par Hélène Labarrière, le tout en écho avec les images vidéo projetées en toile de fond (beaucoup d’images d’archives en noir et blanc sur les Noirs aux Etats-Unis, sur la ségrégation raciale, entre autres). La musique n’est pas ici simplement plaquée telle quelle sur la narration, elle contribue à faire naître des images dans la tête des spectateurs et raconte à sa façon, à travers une bande-son originale mêlant jazz, blues, reggae, soul, rap, l’histoire des luttes et de la résistance contre l’esclavage, la ségrégation raciale, les injustices de toutes sortes et de tous temps. C’est un spectacle qui donne de l’énergie aux petits comme aux grands, l’envie de lever haut le poing pour continuer le combat face aux inégalités actuelles. Cristina Marino – blog Le Monde l’Arbre aux Contes – 16 juillet 2017 Le spectacle de Praline Gay-Para, auteure et conteuse, et Hélène Labarrière, contrebassiste, est d’une grande délicatesse. Pour donner corps aux combats des peuples issus de l’esclavage, et convoquer la mémoire des champs de canne ou de la ségrégation américaine, elle use juste de quelques images d’archives, d’un accompagnement musical qui puise dans le populaire mais conduit ses rythmes propres et, surtout, d’histoires. De fables, jamais manichéennes, qui parlent de nos peurs comme d’un immense monstre chevelu, de chats noirs et blancs qui se foutent sur la gueule à Harlem, mais sont vraiment des chats (vraiment?), d’un oiseau révolté bien dur à digérer, d’esclaves qui pour échapper au fouet s’envolent un à un vers le ciel…  Autant d’histoires qui ne parlent pas directement, comme en un théâtre documentaire ou réaliste, de la révolte ou des souffrances des Noirs Américains ou Caribéens,  mais qui disent leur mémoire, leur imaginaire, leur musique, leur quotidien, leur enfance… Bref, leur culture réinventée après l’arrachement, dans l’oppression. Des histoires où les faibles survivent par leur ruse et par leur joie, où les monstres se noient et s’enfuient. Praline Gay-Para a l’art de conter avec tout son corps, faisant vivre les personnages sans les incarner, en les dessinant de ses gestes précis et de sa voix déterminée. Les enfants écoutent avec attention, se régalent aux histoires, suivent des yeux les directions imaginaires qu’elle trace dans l’espace. Puis, comme les adultes, ils se rendent compte que cette Histoire des peuples esclaves reste encore à écrire : pas seulement celle des faits et des chiffres, mais des mythes, des fables et de l’imaginaire. Agnès Freschel – Zibeline – Juillet 2017

Lisières

Lisières

Lisières

entresort en caravane
  Ce spectacle ne tourne plus  
Contes et récits urbains en caravane
Tout public à partir de 10 ans
De et par Praline Gay-Para

Electro-acoustique : Catherine Pougeol
Marionnette : Maëlle Le Gall
Conseil artistique : Simon Delattre

 

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Création le 12 novembre 2015 à la Ferme de Bel Ebat – Théâtre de Guyancourt

Les lieux ont une mémoire. Celle  de  la  campagne  ressurgit  dans  les  constructions  nouvelles,  celle  des  anciennes  usines  se  rappelle au bon souvenir des habitants d’aujourd’hui. L’esprit d’un saule qui a été coupé pour laisser la place à un chantier, ou une briqueterie qui demeure dans le nom d’une rue…

Sept formes courtes pour 10 spectateurs chacune, où le récit, la musique électroacoustique, la marionnette, les objets, s’entremêlent pour laisser entendre les voix des personnes rencontrées qui nous ont généreusement accueillis.

 

Nous invitons les habitants à un spectacle qui décline artistiquement leur environnement immédiat, en espérant modifier leur regard sur le lieu où ils vivent, réinventer une relation poétique et curieuse au territoire.

En nous appuyant sur les réseaux existants, sur les lieux, nous sommes allées à la rencontre des habitants. Pour ce projet précis, nous avons établi une sorte de questionnaire directement lié à notre propos. Cela permet de préciser certains aspects du travail auprès des habitants rencontrés. Nous avons enregistré les sonorités du territoire : les paysages sonores, les bruits du travail, des moments de vie, de fêtes, les voix des habitants et leurs histoires, etc. Ces sons collectés constituent le matériau premier des compositions musicales électroacoustiques. En Ile-De-France, la frontière entre les sons proprement urbains et les sons du monde rural est ténue. Ils s’entremêlent constamment. A nous de les donner à entendre, avec une oreille gourmande. Les différentes étapes de ce travail de création seront proposées aux habitants lors des rencontres intermédiaires qui précèdent la création. Les morceaux composés seront diffusés et spatialisés sur certains sites du territoire

Dossier Lisières

Production Pavé Volubile. Coproduction : Ferme de Bel Ebat-Théâtre de Guyancourt. Soutiens : Communauté de communes de l’Arpajonnais, Le Conseil Départemental de l’Essonne, Silo de Méréville (91), MJC de Ris Orangis (91). Ce projet est soutenu par le Conseil Régional d’Île-de-France au titre de la permanence artistique et culturelle.

Contes des 9 continents

Contes des 9 continents

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Contes des 9 continents

Contes à la carte : chaque soirée est unique
Tout public à partir de 7 ans – Durée 50 à 70 minutes
De et par Praline Gay-Para en solo
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Contes traditionnels et récits du monde entier.  A vos souhaits, à vos désirs, à vos envies, Praline Gay-Para mêle les histoires et les géographies. C’est le public qui fait le programme. L’auditoire commence par émettre ses souhaits : une aire géographique, un personnage, un lieu, un thème. La conteuse y répond à partir d’un répertoire éclectique des quatre coins du monde. Le traditionnel et le contemporain s’enchevêtrent, les continents se mêlent et les histoires jaillissent. Vous pouvez aussi commander à l’avance une aire géographique (Moyen-Orient, Méditerranée, Caraïbes, etc…) ou un thème (l’eau, les femmes, la gourmandise, le voyage, les astres, etc..).

Jauge : jusqu’à 150 personnes.

Il est possible de proposer Contes des 9 continents dans la caravane rouge de la Compagnie. Contactez nous pour construire les modalités !

Récits de mon île

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Récits de mon île

Des éclats de vies de mon île, l’Île-de-France
Tout public à partir de 10 ans – 60 minutes
De et par Praline Gay-Para en solo
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Les villes sont habitées par des histoires ; des récits de vie, des rumeurs urbaines, des faits divers qui se transmettent de bouche à oreille. Autant de courts-métrages du quotidien qui reflètent l’universalité du monde. Le merveilleux est au coin de la rue ou au détour d’une histoire. Praline Gay-Para brouille les frontières entre le vrai et l’imaginaire.

Jauge : jusqu’à 150 personnes.

Pourquoi je ne suis pas née en Finlande ?

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Pourquoi je ne suis pas née en Finlande ?

  Ce spectacle ne tourne plus  
Conte, récit
Spectacle tout public à partir de 14 ans – 55 minutes

Auteur et interprète : Praline Gay-Para
Mise en scène : Laurence Garcia
Scénographie, lumières : Sam Mary

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Praline Gay-Para nous parle d’un pays en proie à la guerre civile ; le Liban qu’elle a quitté en 1975. Le conflit, elle l’a vécu de loin, au téléphone, dans les médias ou lors de ses rares voyages : « six mois sur place et tout le reste d’ici ». Une guerre sans fin et un pays qui l’ont pourtant habitée, obsédée quotidiennement toutes ces années. Son héroïne, une femme comme elle en exil à Paris, vient d’apprendre la mort de Mariam, sa seconde mère, restée au Liban et avec qui elle est demeurée liée depuis son départ pour la France. « L’une ici, l’autre là-bas… » Elle sort sous la pluie porter la nouvelle à Wahid, le neveu de la vieille dame. En chemin, des bribes de conversations, des événements lui reviennent, le passé et le présent s’entremêlent. Praline Gay-Para droite dans ses souliers, évoque avec justesse les ambivalences, les contradictions, l’absurdité de tout conflit. Une parole nue, forte et sensible qui interroge la mécanique du souvenir et où dominent avec bonheur les étincelles d’humanité et d’humour qui font la force de la vie.

Production : Pavé Volubile. Coproduction : Maison du Conte de Chevilly-Larue (94), la CCAS, Le Strapontin-Scène des arts de la parole de Pont-Scorff (56). Coréalisation : l’Atelier du plateau (75). Avec l’aide à la production d’Arcadi. Avec le soutien de la DRAC Île-de-France/Ministère de la Culture et de la Communication, de l’Adami et du Théâtre le Moustier de Thorigny-sur-Marne (77).

Politis
Conteuse remarquable, elle a crée un spectacle chargé d’émotion qui raconte la guerre au Liban. Les thèmes de l’exil et de l’absurdité de toute guerre sont déclinés avec gravité, humour et poésie.
Courrez voir ce spectacle « indispensable » qui nous aide à devenir un peu plus humains !
Myrtha Liberman,  19 janvier 2011

Le blog de Martine Silber – 20 janvier 2011
… elle fait vivre un monde, incarne tous les personnages, mais aussi le vent, la pluie, le soleil…comme ça toute seule. . Elle arpente les rues de Beyrouth sous la mitraille, retrouve son enfance auprès de sa nourrice mariam, rebuffe le neveu, Wahid, savoure des nourritures oubliées, l’émotion fait vibrer les murs blancs gelés ou écrasés de chaleur.

La Théâtrothèque.com
Praline Gay‐Para, une conteuse de notre temps habillée des mots du monde.
Venez écouter les images et en partant vous verrez les mots.
Philippe Delhumeau. 20 janvier 2011

webtheatre.fr
En assistant au spectacle de Praline Gay-Para «Pourquoi je ne suis pas née en Finlande ? » le spectateur éprouve un plaisir rare à saveur d’authentique : celui de se sentir recueillir, d’accueillir une confidence.
Elle est celle de l’inconnue du banc qui, sous le couvert de cette situation anodine, révèle des fragments de vie au passant que nous sommes tous. La vie paisible en France, l’exil, la guerre lointaine, les proches restés là- bas. Situation universelle. Histoire individuelle qui fluctue entre anecdotiques histoires du quotidien et le récit de la gravité du monde.
Porté par une forme d’auto – dérision douce dont le rire est tout autant teinté de gêne de n’être pas là-bas que d’être ici, le soliloque de Praline Gay-Para est paisible et humble d’apparence. Il est celui de l’impossible ubiquité, de l’in tranquillité radicale de l’être. Paradoxe de l’homme jamais libre relié à sa famille, son pays.
Praline Gay-Para en révèle les fissures, les fragilités, en démontre la force. Elle manie l’art du conte comme un art de la conversation. Un rêve de paix dans le silence de l’écoute.
Par Jean Grapin, 10 février 2011

Contes turbulents

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Contes turbulents

Concert, contes et musique
À partir de 3 ans ou 6 ans selon la forme – 25 à 45 minutes

Praline Gay-Para : récits et grimoire sonore.
Jean-François Piette : percussions, trompette.

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Des contes qui ne tiennent pas en place, des récits à rire et à danser, des histoires agitées. Des corps sonores, des instruments et des histoires chahutent pour créer un spectacle turbulent pour les plus petits et les plus grands. La musique et la parole s’entremêlent pour raconter chacune à sa manière. La conteuse et le musicien laissent libre cours à l’improvisation autour d’une écriture musicale et d’un répertoire traditionnel et contemporain pour les petites personnes. Les instruments : trompette, percussions, cymbales mais aussi… bassines d’eau, haricots secs, riz et autres envies du moment. Le public entendra : Le petit garçon et la mouche, La chose percée, L’enfant dans la lune…

« Au tout début il était bien au chaud dans l’eau tiède de son ventre. Au tout début quand elle marchait elle le berçait et quand elle s’arrêtait, il pédalait très vite pour qu’elle recommence. » L’enfant dans la lune.

« Parfois la fille des nuages allume une chandelle pour s’éclairer et c’est la lueur de sa bougie qui filtre à travers les trous du ciel que nous appelons les étoiles. » La chose percée.

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